"Ces jours qui te semblent videsPaul Valéry, Poésies, Paris: Gallimard, 2009, p. 112.
Et perdues pour l'univers
Ont des racines avides
Qui travaillent les déserts.
La substance chevelue
Par les ténèbres élue
Ne peut s'arrêter jamais,
Jusqu'aux entrailles du monde,
De poursuivre l'eau profonde
Que demandent les sommets."
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